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03/01/2022
29/01/2022
29/01/2022
Laurent Zunino
Laurent Zunino
Peinture
Vernissage le jeudi 6 janvier à 18h30
« Ma peinture suggère et exprime mais ne représente pas…
Ébloui dès l’enfance par la couleur et la découverte des artistes, je marche dans ce chemin de la création à la recherche d’un idéal inconnu.
Mes gouaches de l’enfance avaient déjà ce goût de l’inachevé, cette projection, ce départ permanent, cette éternelle insatisfaction.
Amoureux de la matière et de la couleur que j’aime marier avec le noir, très loin d’un quelconque intellectualisme, je peins des formes humaines, des filles mélancoliques, des zones portuaires, les embruns de la mer, des paysages de banlieue pour exprimer l’exil, l’amour, l’éphémère et la fragilité, les cris aussi, ceux de l’appel, du temps qui passe, des hommes à la dérive…
L’art n’a pas pour but une quelconque décoration, ainsi, mes formes sont noyées, mes visages cachés, mes paysages inventés, je peins… Je peins, et souhaite partager les sentiments dans une reconnaissance que seul l’art peut offrir.
Grâce à mes coups de couteau qui écrasent la couleur à l’huile sur mon support, je donne à l’autre mes sentiments barrés, mon oeuvre ne m’appartient plus, elle peut être réinventée ; tout comme elle, je m’efface et continue ma route de l’errance pour un éternel recommencement. »
Se reporter également au texte de Conception Molina : Site rubrique «textes»
http://www.laurent-zunino.fr
Ébloui dès l’enfance par la couleur et la découverte des artistes, je marche dans ce chemin de la création à la recherche d’un idéal inconnu.
Mes gouaches de l’enfance avaient déjà ce goût de l’inachevé, cette projection, ce départ permanent, cette éternelle insatisfaction.
Amoureux de la matière et de la couleur que j’aime marier avec le noir, très loin d’un quelconque intellectualisme, je peins des formes humaines, des filles mélancoliques, des zones portuaires, les embruns de la mer, des paysages de banlieue pour exprimer l’exil, l’amour, l’éphémère et la fragilité, les cris aussi, ceux de l’appel, du temps qui passe, des hommes à la dérive…
L’art n’a pas pour but une quelconque décoration, ainsi, mes formes sont noyées, mes visages cachés, mes paysages inventés, je peins… Je peins, et souhaite partager les sentiments dans une reconnaissance que seul l’art peut offrir.
Grâce à mes coups de couteau qui écrasent la couleur à l’huile sur mon support, je donne à l’autre mes sentiments barrés, mon oeuvre ne m’appartient plus, elle peut être réinventée ; tout comme elle, je m’efface et continue ma route de l’errance pour un éternel recommencement. »
Se reporter également au texte de Conception Molina : Site rubrique «textes»
http://www.laurent-zunino.fr
Laurent Zunino 1er novembre 2015
